En résumé #149 : Hors sujet ?

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Bon.

Tu as pris un peu le temps de réfléchir tout(e) seul(e) à l’image ?

Ok, alors on y va…

Dans l’épisode précédent (« Hors du cadre Normal ! »), je présentais les performances étonnantes de ChatGPT pour l’analyse d’images. Enfin, d’UNE image. Ne généralisons pas. Quoique…? Il semble très fort. Tiens bah recommençons donc notre exploration de ses capacités avec celle-ci. Après tout, là encore, il y a beaucoup de matière…

On verra s’il s’en sort aussi bien (note tout de même qu’il me fait ces réponse dans le cadre d’une discussion pour laquelle il dispose déjà d’éléments sur mon travail. L’analyse de l’épisode précédent, par exemple. Il ne part pas de zéro).

Spoiler : c’est excellent. Le résultat que je livre ici correspond bien, cette fois encore, à ce que je souhaite véhiculer avec l’image

Remarques préalables :
1. Je sais que le sujet « chatGPT » est vu comme inintéressant voire carrément gonflant par certain(e)s. Restez en à l’image si vous le souhaitez. Et rassurez vous, ma curiosité sera vite satisfaite et je n’aurai pas cette démarche de façon systématique.

2. « Expliquer une blague c’est comme disséquer une grenouille. Après on comprend mieux comment elle marche, mais elle ne marche plus. ». Oui, c’est le risque ici. Mais d’abord, rien ne vous oblige à lire les explications si vous n’en ressentez pas le besoin. Ensuite, et surtout : ça n’est pas « juste une blague ».
« MAIS ÇA N’EST JAMAIS JUSTE UNE BLAGUE !!! » Oula, hey, calme toi. Si, des fois, si.
Mais là, clairement pas.

3. si vous ne savez pas ce qu’est un syllogisme, jetez un œil rapide à Wikipedia.

Poursuivons un peu :

Très bien. Mais il manque un élément, très important à mes yeux, à côté duquel il semble être passé :

La question désormais traditionnelle :

Ma réponse et sa réaction (et on s’arrête, promis)

Pfiou, quelle époque, quand même. Bon, les jeunes ne peuvent pas se rendre compte, ils ne connaissent rien ou presque. Les vieux, quant à eux, ne comprennent rien. Mais nous, qui avons pile le bon âge (disons, entre 44 et 52), on se rend bien compte du progrès stupéfiant que représente l’IA, et des perspectives (terrifiantes ?) que cela ouvre.

(Enfin, à part Raphaël Enthoven, qui préfère se rassurer en nous expliquant que l’IA n’égalera jamais l’humain, puisque l’IA n’est pas l’humain, vu que l’IA n’est pas l’humain)

2 réponses

  1. M’enfin ! J’en ai 70 et je comprends parfaitement quelle est la résistance à l’impact du mur dans lequel on fonce en appuyant sur l’accélérateur.
    Parce que ce seront les utilisations négatives de l’IA, pas les positives, pourtant nombreuses, qui vont nous faire sombrer.
    Et qu’Enthoven aille se faire foutre !

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