…il me parle d’aventureuuu ♫ – Voilà, tu l’as dans la tête. C’est cadeau.
Voici à quoi ressemblait donc le programme des confs & tables rondes :
Ça fait beaucoup, hein ? Ouais, idéalement, il fallait y aller avec quelques clones. Mais le REC, ça n’était pas que ça. Pour moi, c’était aussi…
Des retrouvaaaaailles !
Avec des potos, mais aussi des rencontres IRL (« en vrai », boomer) de gens côtoyés en ligne. Céline, Marj’, Matthieu, Joachim, Florian, Marion, Bernard, Fantine, Pauline, Denis, Florian (l’autre), Alain, Nicolas, Gaël, Kalou, François, Bruno, JB, Christophe, Vincent, Irène, Frédérique… Tss, encore des gens bourrés de qualités ! (Sur le reste, promis, on a été très raisonnables [Oui, je sais, c’est pas l’impression que pourrait donner la photo. Mais y’a eu qu’une tournée, hein ! Punaise, c’est incroyable, cette manie que t’as de me forcer à me justifier])
Des gens qui apprécient mon travail
Ils semblaient même contents de me rencontrer pour me le dire ! Par souci de cohérence, j’ai moi-même paru assez heureux qu’ils viennent me le signaler.
♫ Avec des gens super, comme Florian Gouthière ♫
(Auteur de l’indispensable (vraiment) livre « Santé, science, doit-on tout gober ? », mais SURTOUT de la préface du recueil de l’expo EBBH)
L’expo EBBH « à la poursuite de l’Esprit Critique »
Comme en septembre 2021 (mais avec du rab), elle s’étalait dans dans le Centre de Congrès et d’Exposition Diagora, sur une vingtaine de panneaux d’1m80 (À retrouver en intégralité dans le recueil, D’AILLEURS).
Des ateliers. Plein. De toutes sortes.
Un camp de base au stand de l’Afis
L’Association Française pour l’Information Scientifique, dans le magazine de laquelle (Science & Pseudosciences) je suis par ailleurs un tout nouveau contributeur. Ce fut un plaisir de faire la connaissance de quelques uns de ses membres et représentants.
Je les remercie chaleureusement d’avoir accepté de proposer le recueil EBBH « à ma place », en compagnie des ouvrages de la maison d’édition book-e-book (dont le flambeau a été transmis à l’association par Henri Broch). Ça m’a permis de ne pas être assigné à ma table (comme lors de la première édition du REC), et de profiter pleinement de l’évènement, cette fois-ci. MERCI, donc 🙂
Le stand de l’association Ukraine Libre
C’était instructif. Important. Et une piqûre de rappel de l’essentiel. Merci à K. pour ces échanges.
Une croûte cassée avec le Pharmachien
A.k.a. Olivier Bernard, avec qui on a passé une bonne heure à partager un plateau repas en papotant assis sur un trottoir. C’était bien le moins que je puisse faire, il était quand même venu exprès du Québec pour me rencontrer ! (A part les trois derniers mots, je vous jure que tout est vrai)
Une Madame EBBH contente
J’étais accompagné de ma meilleure moitié, qui y a passé elle aussi un excellent moment ! Ça n’était pas gagné a priori, tant elle est extérieure à ce « milieu » et ses préoccupations.
Un peu de temps avec Wil, « le Grand Organisateur »
Et même beaucoup de temps si on y réfléchit, puisque je l’ai bien croisé 4000 fois en 3 jours !
Wil, devenu un ami au cours de ces deux dernières années
(Ça avait commencé avec l’interview de mon Eb’ sur la chaîne Zetup).
Je ne m’étends pas ici sur ses qualités humaines ET professionnelles, on me dirait que j’en fais trop. Retenez juste que quand Chuck Norris a du mal à organiser un truc, il fait appel à Wil.
Des moments de jeux, de rigole et de chansons
Au cours de deux soirées détente, en compagnie de loustics que vous connaissez plus probablement (Mr Sam, Vled, Fantiiiiiiine [je suis fan], Franck, Thomas, Serge…)
Et le chef d’orchestre, Clément Freze, évidemment !
– Sceptique qui Doute –
(d’avoir été assez ferme quand il a dit qu’il ne souhaitait pas participer au jeu du Maillon Fiable)
Un sketch avec Matthieu Mulot pas si mauvais (le sketch), si on considère qu’on a fini de le préparer par textos pendant le début même du spectacle
un temps fort de la soirée (et une salle pliée en deux)
Et à la fin, PAF, un prix pour bibi
En clôture de ces REC 2022, pour récompenser (SI J’AI BIEN COMPRIS) mon travail depuis pas loin de 5 ans. Enfin, concrètement, on m’a remis le « Richard du Déshonneur« , en clôture de la cérémonie parodique célébrant la désinformation. Ces gens sont un peu tordus.
Ça m’a légèrement ému, je l’avoue. Je ne sais pas qui exactement a validé cette surprise, mais le public ne m’ayant pas hué, je n’engagerai probablement aucune poursuite.
Bon, ‘suis donc aller récupérer cette magnifique statuette sur scène, en bredouillant quelques mots maladroits, certes, mais TELLEMENT TOUCHANTS.
J’en ai évidemment profité pour remercier Willy, l’organisateur. Parce qu’on ne s’en rend pas forcément compte de l’extérieur, mais c’est un exploit, qu’il a accompli. Un p’tit miracle, même.
– Une bien belle (s)cène –
(et si vous me cherchez, je suis le premier masque ffp2 en partant de la gauche).
Et puis… les polémiques
Bon, petite douche façon cumulus en panne à la fin de la remise des prix : des polémiques ont éclaté autour de plaisanteries douteuses, et ça pétait (très) fort sur Twitter. Et plus fort encore les jours suivants, où j’ai commencé à écrire ce billet pour en toucher deux (mille) mots. Puis à le réécrire complètement. Et à le re-réécrire. Et à…(x8).. et à finalement tout effacer. À quoi bon remettre une pièce dans une machine qui a déjà, sur ce sujet, distribué tellement de baffes bien trop fortes de tous les côtés ?
C’est ça, finalement, Twitter. Une machine à baffes.
Je conclurai donc simplement d’un « Vivement le REC 3 ! », en espérant que pourra être maintenue sa gratuité (le combat fut âpre), en contrepartie de laquelle, cette année, suggestion était donc faite aux visiteurs d’aider l’association Ukraine Libre, qui présentait un stand près de l’entrée. La conférence sur l’Ukraine (et la désinformation) a d’ailleurs été montée en priorité : https://www.youtube.com/watch?v=0rR5Fzw4P90
(Les autres captations vidéos seront disponibles au gré du montage. Je ne vous dis pas qui va encore s’en charger, mais il va y passer ses nuits pendant un moment, le Wil)
RôM.